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Un choc de.., Modèles du Monde ?

Une vue hiérarchique « verticale »
des relations inter spécifiques homme/chien

Dans ce modèle de l’éthologie du chien, il s’agit de considérer un axiome famille-meute dans un même groupe social, le chien par un lien d'attachement extra spécifique s’adapte à une forme d'hiérarchie familiale et considère l’être humain comme un chien un peu original.

Ce modèle est contesté actuellement, car il a été élaboré à partir d’un postulat de male-femelle alpha inspiré de la vie sociale des loups vivant en captivité.
L’étude faite à posteriori, sur la vie sociale des loups dans le Parc national de Yellowstone où l’animal a des distances de fuite importantes, remet en question la théorie du « loup dominant ».

En tant qu’éleveur-dresseur de chiens de travail, j’ai eu affaire avec des chiens très assertifs, à fort caractère, mais je n’ai jamais pu constater « une dominance linéaire ».
Par contre j’ai souvent constaté des dominances/subordinations dans le cadre de relations duelles dans des dyades. Mon interprétation a toujours été qu’il s’agissait de « dominances de processus » ponctuelles et non pas de « dominances d’état » durables.

Le sujet est intéressant : A domine B - et B domine C
- ce n’est pas sûr que  A domine C voire même – C peut dominer A !

Un vue coopérative « horizontale »
des relations inter spécifiques homme/chien

Ce nouveau modèle de l’éthologie du chien est inspiré de l’observation des chiens errants et des chiens paria. 
J’ai vu des vidéos de ces éthologues de chiens réalisées dans une décharge publique au Mexique : les chiens étaient obèses ! La société de consommation est passée par là, nous sommes loin des premiers chiens/loups primitifs tenaillés par la faim qui se sont approchés de l’homme pour une co-évolution.
La conclusion de ces éthologues de chiens est de considérer deux espèces clairement différentes entre l'homme et le chien, ne partageant pas les mêmes codes sociaux, le chien serait un opportuniste qui coopère en fonction de ses intérêts dans un groupe mixte, où captif, il subit plus ou moins l’être humain.
Je n’aime pas la tendance actuelle de certains compotementalistes canins, influencés par cette théorie, qui jugent et culpabilisent les propriétaires de chiens, pour ne pas satisfaire les besoins phisiologiques de leur chien et pour lui imposer les contraintes inhérantes à sa vie commensale. ​En réalité, par le biais de l'éducation du chien, ces comportementalistes canins imposent leur Modèle du Monde à leurs clients. Cela me rappelle certains psychanalystes qui culpabilisaient les mères d’enfants autistes de ne pas avoir su répondre aux demandes primitives de leur bébé.


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