Il y a deux courants de pensée en opposition féroce actuellement en France dans le microcosme de l’éducation canine et du dressage de chiens
Sont confrontés d’une part, les jeunes loups aux dents longues, prédicateurs du renforcement positif américain,
militant pour l’extinction des méthodes traditionnelles européennes connotées de maltraitance ordinaire.
Et d’autre part, les anciens faisant valoir qu’une permissivité excessive conduit certains chiens à l’euthanasie en cas de morsure.
Et je ne confie pas un de mes petits enfants à un maître-nageur ou à un moniteur d’alpinisme, qui n’a pas la force physique pour le retenir s’il se déstabilise, s’énerve ou se précipite dans le vide etc.
Je considère qu’un chien représente un risque domestique au même titre que de l’électroménager ou la tondeuse à gazon, et qu’il est nécessaire d’être en mesure de le contrôler dans des situations graves sans être obligé d’avoir recours aux services des pompiers.
Il faut développer des potentiels alors que le chien est jeune : par exemple qu’il puisse être contenu en niche de transport et qu’il accepte d’être retenu par la force physique en balade.
Dès que l’intégrité physique du chien ou celle d’autrui est en danger, il faut être en mesure de le retenir manu militari peu importe la taille du chien.